Je suis une femme soumise et c’est ainsi que je vis ma relation : Obéir et être docile.
J’obéis à mon Dominateur dans tous les sens, en faisant tout ce qu’il me demande. Il prend le contrôle de moi et de notre relation, en veillant toujours à ce que je me sente en sécurité et respectée. Il me discipline lorsque cela est nécessaire en me donnant une fessée ou en m’attachant, mais jamais avec une force excessive. En plus de ces activités, l’humiliation est aussi souvent utilisée comme un outil pour renforcer notre dynamique et mon status de femme soumise. La soumission me permet de prouver mon engagement envers mon Maîtreet nous permet à tous deux d’explorer nos limites par la soumission.
Être soumise, ce n’est pas seulement permettre à quelqu’un d’autre de prendre le contrôle ; c’est aussi créer une connexion intime entre la femme soumise et l’homme dominateur. Mon homme connait mes pensées et mes désirs les plus intimes. Grâce à nos jeux BDSM, nous sommes en mesure d’explorer les profondeurs de nos émotions , ce qui conduit à une confiance accrue entre nous. Les aspects physiques du BDSM facilitent l’intimité émotionnelle en offrant un exutoire à certains sentiments intenses, tout en permettant de créer des liens émotionnels par le biais d’expériences partagées
Nous utilisons également la communication comme un élément clé dans nos relations. Le fait de parler ouvertement et honnêtement de BDSM nous donne l’occasion de discuter de ce que nous attendons l’un de l’autre et nous permet de négocier les expériences et les pratiques qui nous conviennent à tous les deux. Cela permet aux deux parties de se sentir à l’aise et respectées tout au long de la relation avec son partenaire, ce qui contribue à créer un environnement propice à l’exploration de nos fantasmes, et d’être tout en confiance
Me soumettre même dans la douleur est une chose dont je suis fière ; cela montre à mon Dom que je lui fais implicitement confiance tout en ayant suffisamment d’autonomie pour prendre nous-mêmes des décisions concernant notre dynamique, et d’aller toujours un peu plus loin dans le SM, même si cela devient très hard parfois. Nous nous efforçons de trouver un équilibre entre l’échange de pouvoir et les structures relationnelles traditionnelles, créant ainsi une dynamique unique en son genre où nous pouvons tous deux éprouver du plaisir à être, moi une femme soumise et lui un homme dominant.
Dans nos séances nous allons parfois très loin, quand j’étais novice, sa domination n’était que verbale, mais plus le temps passe, plus nous multiplions les expériences. Il a voulu que nous explorions le bondage, il inclut parfois d’autres femmes dans nos jeux, pour son unique plaisir. Chaque nouvelle rencontre est une épreuve pour moi. Je n’aurais jamais cru que le BDSM pourrait m’emmener si loin, mais la pratique m’a peu à peu ouverte l’esprit, et je n’aspire plus qu’à une chose : être une soumise modèle. Son envie passe avant les miennes. Pour rien au monde je ne reviendrais en arrière. Il est mon roi et je suis son sujet. La seule pratique avec laquelle j’ai vraiment du mal, c’est l’exhibition. Il veut me prendre en photo et que je rencontre des hommes en milieu ouvert (nous habitons pas loin du Bois de Vincennes où les nuits sont parfois « intenses » quand on est soumise et mis à disposition d’hommes pour répondre à leur envie.
Ma soumission et le sadomasochisme.
Nos explorations nous amène de plus en plus sur le terrain du sado-masochisme. Je suis une femme soumise, et j’apprécie vraiment la douleur que mon maître m’inflige. J’aime me soumettre complètement à lui, et lorsqu’il me fait mal, cela me procure un grand plaisir, même si cela peut paraître très paradoxal. Dans nos pratiques, ll ne s’agit pas seulement de douleur physique, mais aussi d’humiliation et de dégradation. Il me donne des fessées jusqu’à ce que ma peau brûle à cause de l’intensité de ses coups, m’attache de façon à ce que je ne puisse pas bouger sans permission, et utilise ses mots pour me faire sentir pleinement que je suis SA femme mais aussi et surtout sa salope.
Le BDSM me fait me sentir complètement à à sa merci. Je me sens épanouie lorsque je me soumets à lui de cette façon, comme s’il avait pris le contrôle de mon corps et de mon esprit comme personne d’autre ne peut le faire. La vulnérabilité qui découle du fait de permettre à quelqu’un d’autre de prendre un contrôle aussi absolu sur vous est libératrice à sa manière. Lorsqu’il me fait mal, ce sentiment est encore plus fort, rendant l’expérience encore plus intense et épanouissante qu’auparavant
Je lui suis infiniment reconnaissante d’avoir eu l’occasion d’explorer cette facette de moi-même par la soumission et les jeux BDSM. Cela m’a ouvert à un tout nouveau monde: un monde rempli de confiance, de passion, d’exploration. J’en tire un plaisir immense surtout quand on me fait l’amour attachée. Peu importe à quel point il me blesse ou m’humilie pendant nos moments BDSM, il y a toujours une connexion profonde entre nous après : une connexion impossible à briser et qui restera forte pour toujours.
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